Signalons en priorité deux expositions, inaugurées les 4 et 5 mars, qui accompagneront le festival et se prolongeront jusqu'au 24 mars : "Terre à terre" (Cargo), hommage aux potières du Maroc et du Mali, un nouveau regard sur l'art africain ; et "Femmes de la Goutte d'Or" (Lavoir moderne parisien), par la plasticienne Silvia Werder. Le festival proprement dit fera une grande place au théâtre, avec Souvenir de la dame en noir de Maïmouna Gueye le 4 mars à 20 heures, Bayavuge de Claudine Nyirahabineza le 6 à 20 heures, Fatma de M'hammed Benguettaf le 7 à 18 heures. Il y aura a ussi de la danse avec "My own wara", par la compagnie N'Soleh (le 6 à 18 heures), de la musique (violoncelle et percussions), des lectures, des projections, des débats et témoignages avec notamment la participation de Blandine Kriegel, présidente du Haut Conseil à l'Intégration et de Fadela Amara, du collectif Ni putes, ni soumises.