Après Chronique d'une Destinée, publié en 2006, Badiadji Horrétowdo livre dans L'Âme perdue, la deuxième partie de son récit initiatique.
Il dresse un tableau sans complaisance du Cameroun qu'il regagna au terme de ses études supérieures en France, relate ses luttes et peines, l'arbitraire socioprofessionnel et bien des péripéties endurées dans deux entreprises - dont l'un des plus emblématiques établissements bancaires -, et condamne sans appel les dérives qui gangrènent son pays.
L'Âme perdue est le second volet du témoignage intime et passionné d'un écrivain engagé contre les injustices sociales.